L'hypnose, et plus généralement les thérapies brèves, sont contre-indiquées pour les cas suivants.

Relevant de la psychiatrie ou de l'addictologie.
(à moins d'un certificat émanant d'un psychiatre prescrivant un accompagnement)

- Les psychotiques en phase aiguë.
- Les schizophrènes, borderline.
- Les personnes souffrant de troubles sévères de la personnalité ou anti-sociales.
- Les troubles neurologiques ou neurodégénératifs.
- Les troubles bipolaires, perceptifs, les troubles dissociatifs ou troubles de l'identité.
- Les épileptiques.
- Les troubles anxieux sévères ou les crises de panique fréquentes.
- Les troubles graves du sommeil.
- Les personnes en dépression.
- Les personnes suicidaires, en dépression mélancolique.
- Les clients en recherche d'un passé supposé.

- Les personnes sous psychotropes ou anesthésiques.
- Les drogués.
- Les alcooliques.
- Les personnes souffrant de boulimie ou d'anorexie avérée.
- Les addictions aigües à la pornographie ou au jeu.

Relevant du domaine médical (à moins d'une préconisation hypnose délivrée par une autorité médicale)
(à moins d'un certificat émanant d'un professionnel de santé prescrivant un accompagnement)

- Pathologies médicales.
- Les épileptiques.
- Les personnes souffrant de problèmes cardiaques graves.
- Les personnes ayant subi un traumatisme crânien sévère.
- Douleurs, symptômes non psycho-somatiques qui peuvent signaler une pathologie.

Contre-indications.